Ce système national de filets sociaux est «destiné à aider directement 15 000 ménages pauvres et vulnérables des zones rurales et urbaines» du pays, précise la banque dans un communiqué de presse. Il cite en particulier ceux vivant dans la région septentrionale du Logone Occidental, dans la région sahélienne de Bahr-El-Gazel et dans les quartiers urbains et périurbains de N’Djamena.
«Ces filets sociaux permettront de réduire la pauvreté et de redistribuer équitablement les bénéfices de la croissance économique par le biais de transferts monétaires et d’emplois de travaux publics», selon le communiqué.
Ce projet cible tout particulièrement les ménages pauvres avec des enfants de moins de 15 ans et des femmes enceintes. Les transferts monétaires, qui appuieront les dépenses de consommation des ménages sur une période de 2 ans, seront associés à des mesures d’accompagnement axées sur l’amélioration des pratiques d’hygiène maternelle et de la nutrition infantile. Ils visent également à empêcher les ménages d’adopter des stratégies d’adaptation négatives à la suite d’un choc.
Le Projet de filets sociaux, financé par l'Association internationale de développement (IDA) et le Fonds d’affectation spéciale multi donateurs pour la protection sociale adaptative au Sahel, soutenue par la coopération anglaise (DFID) appuiera des programmes ciblant 6 200 ménages pauvres de la bande sahélienne et de la zone sud-soudanienne.
Ces derniers recevront une prestation mensuelle de 15 000 francs CFA (25 dollars) versée tous les 2 mois. En outre, le projet offrira des opportunités de revenu à près de 9000 ménages pauvres des zones urbaines et périurbaines de N’Djamena.
Les participants se verront offrir un emploi d’une durée maximale de 80 jours, avec une rémunération journalière d’environ 1 200 francs CFA (2 dollars) pour 5 heures de travail quotidien. Dans la majorité des cas, la prestation sera versée aux mères. Ce transfert correspond à environ 50 % de l’écart de pauvreté en matière de consommation alimentaire et devrait permettre aux ménages de stabiliser leur consommation sans pour autant les dissuader de travailler.
«Ces filets sociaux permettront de réduire la pauvreté et de redistribuer équitablement les bénéfices de la croissance économique par le biais de transferts monétaires et d’emplois de travaux publics», selon le communiqué.
Ce projet cible tout particulièrement les ménages pauvres avec des enfants de moins de 15 ans et des femmes enceintes. Les transferts monétaires, qui appuieront les dépenses de consommation des ménages sur une période de 2 ans, seront associés à des mesures d’accompagnement axées sur l’amélioration des pratiques d’hygiène maternelle et de la nutrition infantile. Ils visent également à empêcher les ménages d’adopter des stratégies d’adaptation négatives à la suite d’un choc.
Le Projet de filets sociaux, financé par l'Association internationale de développement (IDA) et le Fonds d’affectation spéciale multi donateurs pour la protection sociale adaptative au Sahel, soutenue par la coopération anglaise (DFID) appuiera des programmes ciblant 6 200 ménages pauvres de la bande sahélienne et de la zone sud-soudanienne.
Ces derniers recevront une prestation mensuelle de 15 000 francs CFA (25 dollars) versée tous les 2 mois. En outre, le projet offrira des opportunités de revenu à près de 9000 ménages pauvres des zones urbaines et périurbaines de N’Djamena.
Les participants se verront offrir un emploi d’une durée maximale de 80 jours, avec une rémunération journalière d’environ 1 200 francs CFA (2 dollars) pour 5 heures de travail quotidien. Dans la majorité des cas, la prestation sera versée aux mères. Ce transfert correspond à environ 50 % de l’écart de pauvreté en matière de consommation alimentaire et devrait permettre aux ménages de stabiliser leur consommation sans pour autant les dissuader de travailler.